La gratuité, c’est le caractère de ce qui est gratuit. Mais c’est aussi celui de ce qui est sans fondement, injustifié comme la gratuité d’une affirmation.
Le premier cas est ce que l’on donne librement sans obligation. Le deuxième montre bien le peu d’intérêt de la chose.
Un acte gratuit est le fait d’agir en dehors de toute raison, motivation et/ou incitation. Cela peut apparaître comme la volonté de se trouver une liberté, de se montrer à soi-même que rien ne peut l’entraver. Dans ce cas-là, le motif de l’acte peut apparaître comme l’absence de motif. Ainsi dans l’expression « un acte gratuit », la connotation est souvent péjorative et signifie que cela n’apporte de bénéfice à personne. Le vandalisme est un acte gratuit. Un crime gratuit n’a pas de mobile. Une hypothèse gratuite n’est pas fondée.
Alors comment classer les offres (gratuites ?) que nous recevons en permanence dans nos boites mail. N’est-ce pas des affirmations gratuites? Car en fait ces propositions nous coûteront. Elle sont créées pour cela. Prenons les livres blancs qui foisonnent sur les réseaux sociaux. Très sexy par leur thème, ils séduisent d’un sujet percutant, intéressant; tout en récupérant l’adresse, ne serait-ce que pour envoyer le livre blanc. Cette collecte légale d’informations est source d’économies de coûts pour l’émetteur, mais surement pas à terme, pour le demandeur.
Autre exemple, il existe deux types de logiciels distribués gratuitement. Leurs licences permet de les distinguer :
- les logiciels libres qui sont généralement distribués gratuitement, mais en version bridée.
- Les gratuiciel (ou freeware) sont distribués gratuitement et sont sous licence propriétaire; autrement dit, une licence est dite propriétaire ou privative si les conditions d’utilisation qu’elle définit entravent un des droits donnés par les licences libres à savoir utiliser, étudier, modifier, dupliquer, ou diffuser l’œuvre sur laquelle porte la licence
Et, ils ne sont pas gratuits; ils servent de fer de lance pour se projeter dans la frénésie de la consommation. Ils sont volontairement frustrants. Parfois humiliants lorsqu’ils nous obligent en fin de parcours à s’abonner pour finaliser notre utilisation.
Mais quel rapport avec Dual’Idées ?
Dual’idées propose un pré-diagnostic gratuit. Une démarche commerciale qui visent à se faire reconnaitre. C’est un coût horaire d’études de cas que Dual’idées s’autorise à prendre à sa charge.
Cette largesse est dans l’intérêt du client qui ne s’intéresse pas qu’aux prix des choses, mais surtout à ce qu’elles apportent. Bien sûr, il faudra communiquer des éléments personnels pour conduire l’étude. Pas plus intrusif qu’un banquier, notaire, médecin…un strict minimum pour mieux cerner les attentes. Mais dual’idées s’engage à les rendre à l’issue. tout comme elle viendra vous communiquer le résultat de son étude, sauf avis contraire de votre part.
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